vendredi 27 février 2009

Bien arrivée à Ougadougou


40 degrés, des lézards partout apparament ils sont comme les chats des rues chez nous.Une capitale en effervesence. Des belles rencontres avec des gens et avec un continent. Une bonne bière locale!!! et une triste nouvelle au bout du fil... mais la vie continue en tout cas pour l'instant le cinéma continu.
Je vous tiens au courant...


dimanche 22 février 2009

Quoi faire quand le mauve est sa couleur préférée : ( ?



Je n’y peux rien depuis déjà enfant et même largement avant l’arrivée du 7 magique ! J’ai toujours adoré le mauve !! Il n’y a qu’à voir mes photos de l’A3aid saghir pour tout comprendre !
Depuis que c’est devenu une couleur si connoté en Tunisie et qu’on la voix partout, (drapeaux, façade de cho3ba, sigle de la télé nationale ….. cet été j’ai même vu des arbres dont les troncs étaientt peint en mauve…) le mauve a disparue de nos gardes robes, eh oui! dés qu’on porte un habit en mauve on est sûr d’entendre la fameuse réplique : « Echnoua Hezbiste !! »
Cette année le mauve est à la mode, donc je peux vous dire que pour moi qui n’aime pas le shopping faire les boutiques devient un réel plaisir.

Et vous mettez vous du mauve ?

samedi 21 février 2009

"Hollywood et kes arabes, comment hollywood avilit un peuple"

3éme partie:




hollywood et les arabes_3/3
envoyé par tchelsoo


Production : The Media Education Fundation Basé sur le livre de Jack Shaheen
Ce documentaire totalement inédit passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contesté, depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui. Présenté par Jack Shaheen, Ph.D., auteur réputé, le film relève la longue succession d’images dégradantes qui ont été utilisées pour représenter les Arabes au cinéma.
Des bandits bédouins aux jeunes filles soumises, en passant par les cheiks sinistres et les terroristes armés, ce documentaire jette un éclairage dévastateur sur l’origine de ces portraits stéréotypés et sur leur apparition à des moments clés de l’histoire des États-Unis, démontrant du même coup les lourdes conséquences de cette représentation aujourd’hui. Jack Shaheen montre comment, au fil des ans, la persistance de ces images a fait en sorte de banaliser les préjugés entretenus à l’égard des Arabes et de la culture arabe, ce qui aurait eu pour effet de renforcer une vision étroite des individus d’origine arabe et d’accroître les répercussions des politiques intérieures et internationales des Etats-Unis sur leur vie.
En incitant le spectateur à réfléchir sur les conséquences sociales, politiques et simplement humaines de ces caricatures hollywoodiennes, ce film souhaite faire reconnaître l’urgence d’offrir un point de vue opposé qui rendrait justice à la diversité et au caractère humain du peuple arabe, tout en faisant ressortir le vrai visage et la richesse de l’histoire et de la culture arabes.

"Hollywood et les arabes, comment hollywood avilit un peuple"

2éme partie:




Production : The Media Education Fundation Basé sur le livre de Jack Shaheen

Ce documentaire totalement inédit passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contesté, depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui. Présenté par Jack Shaheen, Ph.D., auteur réputé, le film relève la longue succession d’images dégradantes qui ont été utilisées pour représenter les Arabes au cinéma.
Des bandits bédouins aux jeunes filles soumises, en passant par les cheiks sinistres et les terroristes armés, ce documentaire jette un éclairage dévastateur sur l’origine de ces portraits stéréotypés et sur leur apparition à des moments clés de l’histoire des États-Unis, démontrant du même coup les lourdes conséquences de cette représentation aujourd’hui. Jack Shaheen montre comment, au fil des ans, la persistance de ces images a fait en sorte de banaliser les préjugés entretenus à l’égard des Arabes et de la culture arabe, ce qui aurait eu pour effet de renforcer une vision étroite des individus d’origine arabe et d’accroître les répercussions des politiques intérieures et internationales des Etats-Unis sur leur vie.
En incitant le spectateur à réfléchir sur les conséquences sociales, politiques et simplement humaines de ces caricatures hollywoodiennes, ce film souhaite faire reconnaître l’urgence d’offrir un point de vue opposé qui rendrait justice à la diversité et au caractère humain du peuple arabe, tout en faisant ressortir le vrai visage et la richesse de l’histoire et de la culture arabes.

"Hollywood et les arabes, comment hollywood avilit un peuple"




Production : The Media Education Fundation Basé sur le livre de Jack Shaheen

Ce documentaire totalement inédit passe à la loupe un des aspects les plus calomnieux de l’histoire du cinéma et que personne n’avait jamais osé contesté, depuis l’époque du muet jusqu’aux grandes productions hollywoodiennes d’aujourd’hui. Présenté par Jack Shaheen, Ph.D., auteur réputé, le film relève la longue succession d’images dégradantes qui ont été utilisées pour représenter les Arabes au cinéma.
Des bandits bédouins aux jeunes filles soumises, en passant par les cheiks sinistres et les terroristes armés, ce documentaire jette un éclairage dévastateur sur l’origine de ces portraits stéréotypés et sur leur apparition à des moments clés de l’histoire des États-Unis, démontrant du même coup les lourdes conséquences de cette représentation aujourd’hui. Jack Shaheen montre comment, au fil des ans, la persistance de ces images a fait en sorte de banaliser les préjugés entretenus à l’égard des Arabes et de la culture arabe, ce qui aurait eu pour effet de renforcer une vision étroite des individus d’origine arabe et d’accroître les répercussions des politiques intérieures et internationales des Etats-Unis sur leur vie. En incitant le spectateur à réfléchir sur les conséquences sociales, politiques et simplement humaines de ces caricatures hollywoodiennes, ce film souhaite faire reconnaître l’urgence d’offrir un point de vue opposé qui rendrait justice à la diversité et au caractère humain du peuple arabe, tout en faisant ressortir le vrai visage et la richesse de l’histoire et de la culture arabes.

lundi 16 février 2009

"Vivre debout" extrait



Voilà que l'on se cache
Quand se lève le vent
De peur qu'il ne nous pousse
Vers des combats trop rudes
Voilà que l'on se cache
Dans chaque amour naissant
Qui nous dit après l'autre
Je suis la certitude

Voilà que l'on se cache
Que notre ombre un instant
Pour mieux fuir l'inquiétude
Soit l'ombre d'un enfant
L'ombre des habitudes
Qu'on a plantées en nous
Quand nous avions vingt ans
Serait-il impossible de vivre debout

Jacque Brel
.....

Besoin d'aide

Je voudrais savoir comment transférer une vidéo de youtube ou dailymotion sur vidéo google à fin qu'elle soit visible de Tunisie.
Merci

samedi 14 février 2009

La plus étrange des créatures



Comme la moule, mon frère,
Tu es comme la moule
Enfermé et tranquille.
Tu es terrifiant, mon frère,
Comme la bouche d’un volcan éteint.
Et tu n’es pas un, hélas,
Tu n’es pas cinq,
Tu es des millions.
Tu es comme le mouton, mon frère
Quand le bourreau habillé de ta peau
Quand l’équarrisseur lève son bâton
Tu te hâte de rentrer dans le troupeau
Et tu vas à l’abattoir en courant, presque fier.
Tu es la plus étrange des créatures, en somme,
Plus drôle que le poisson
Qui vit dans la mer sans savoir la mer.
Et s’il y a tant de misère sur terre
C’est grâce à toi, mon frère,
Si nous sommes affamés, épuisés,
Si nous somme écorchés jusqu’au sang
Pressés comme la grappe dans notre vin,
Irai-je jusqu'à dire que c’est de ta faute, non,
Mais tu y es pour beaucoup mon frère.

Nazim Hikmet
1947


vendredi 13 février 2009

Reed Brody à quand un passage du coté de chez nous?



Le 16 Septembre 2008, des tchadiens ont portés plainte contre Hisséne Habré, leur ancien président, pour crime contre l’humanité. Un avocat américain, responsable de l’ONG Humain Rights Watch, a décidé de faire payer le dictateur.
Ce juriste, Reed Brody, est surnommé « le chasseur de dictateurs » depuis qu’il a obtenu il y a quelques années des poursuites contre Agusto Pinochet, l’ancien président chilien.
Pour spécial Investigation, le journaliste Florent Chevolleau a suivi la traque de l’avocat Reed Boady contre Hisséne Habré, dictateur toujours impuni.

Emission à voir ce soir à 22h15 sur Canal plus.
Voir extrait ici : http://www.canalplus.fr/index.php?pid=2175

jeudi 12 février 2009

.......


Le vent coule et s'en va,
Le même vent ne balance jamais deux fois
la même branche de cerisier.

Les oiseaux gazouillent dans l'arbre: des ailes qui veulent voler.
La porte est fermé:
il faut la forcer.

C'est toi que je veux:
que la vie soit belle comme toi, amicale et pleine d'amour.
Je sais qu'il n'est pas encore fini,
le banquet de la misére.
Il finira pourtant.......

Nazim Hikmet
2 Octobre 1945

Vérifiez comme même il y a peut être des blessés cachés sous les camions



Des roses gazaouies pour la Saint-Valentin


Gaza produit des oeillets, des roses, et des chrysanthèmes. Le climat doux et la proximité de la mer offrent des conditions idéales. Il y dix ans, les producteurs gazaouis exportaient 80 millions de fleurs par an. Mais depuis la prise de pouvoir par le Hamas en 2007, et le blocus imposé par Israël, les exportations ont pratiquement cessé.
Le marché européen a besoin de fleurs pour la Saint-Valentin. Israël a donc cédé à la demande des Pays-Bas et allégé le blocus à titre exceptionnel. La coordination est faite par le gouvernement néerlandais. Ses représentants attendent à la frontière israélienne.
La quantité autorisée à transiter ne représente qu'une petite partie de la production de Gaza. Mais elle soulagera quelques fermiers. Et cela profitera aussi au commerce israélien. La plupart des fleurs de Gaza sont achetées pour l'exportation, par une compagnie israélienne, qui exporte ensuite vers l'Europe.
(D’après M. Klaric)
RTBF

mercredi 11 février 2009

Dur exercice d'halthérophilie!


Le plus dur dans le cinéma, selon GODARD, c'est de porter les bobines et il n' a pas tord du tout ... :)

dimanche 8 février 2009

Une histoire qui a maintenant 10ans : Habib Belaid


Quand j’ai quitté la Tunisie j’ai pris très peu de choses entre autre quelques photos mes cahiers de note et une pile de k7 audio sur les quelles j’enregistrais chaque jeudi l’émission « l’air du temps » de Habib Belaid.
Ce soir j’apprends la nouvelle qu’il est écarté de l’équipe d’RTCI et affecté aux archives de la télé. Une envie me prend d’aller chercher ces K7 du fond d’un tiroir poussiéreux. Je les trouves étiquetés datés , et je les écoute…
Été 99 j’avais une vingtaine d’année, pas d’internet pas trop de cd et pas de possibilités d’ouverture sur les musiques du mondes, des musiques différentes recherchés, engagés, et profondes.
Ce rendez vous du jeudi est devenu ma petite fenêtre sur le monde. J’y ai découvert Brel, Chikh Imam,The Doors, Zied Rahabeni, Myriam Makeba, Rim El Bana, Brassin, Nougareau, Oumaima el Khalil....
Maintenant en 2009, avec Zaitouna, Mozaique, dans une Tunisie qui s’accommode de plus en plus de la médiocrité et de la complaisance ils nous privent encore et encore des quelques soupapes de survie possible. Ils écartent un par un les gens qui défendent une alternative possible, un regard différent, une vision du monde en couleur. Et quoi encore….

samedi 7 février 2009

le court métrage "La Traversée "vu par les critiques

Tunisie tout courts
Des films et… des sensibilités

Asma Drissi
La Presse 10/01/09

«Tunisie tout courts» est, en fait, une vitrine sur notre production cinématographique, un bric-à-brac de tout ce qui s’est fait l’année écoulée en termes de courts métrages. Une production dense, certes, mais la qualité n’est pas toujours au rendez-vous.
Certains sortent, bien entendu, du lot et nous relèvent la diversité des styles et des univers de ces cinéastes, dont Chassé-croisé de Mohamed Ben Becher et La traversée de Nadia Touijer.




Chassé-croisé : touchant et fleur bleue

Mohamed Ben Becher n’est pas à sa première expérience cinématographique, mais son quatrième court-métrage Chassé-croisé est de loin le plus abouti. Présenté dans le cadre des soirées du court-métrage tunisien le week-end dernier, ce film ressemble le plus à son auteur, à son univers et surtout à sa sensibilité artistique. Chassé-croisé est une histoire d’amour compliquée où se mêlent histoires de cœur et histoires d’amitié. Monia, Malek, Sofiène et Sami ont grandi ensemble. Ils ont partagé tous les jeux d’enfants sur la terrasse de l’immeuble. Et comme le dit la chanson, la vie sépare ceux qui s’aiment, chacun part de son côté pour réaliser ses rêves. Le retour de Sofiène de France est un événement déclencheur. La quatrième partie du puzzle vient compléter le tableau. Sauf que le temps de l’innocence est bien loin, et le jeu est devenu un jeu d’adultes : on s’aime, on se déchire, on se sépare, on se trahit et on y laisse des plumes. Un chassé-croisé entre ces quatre amis brise la quiétude de ce tableau de «famille», mais la scène finale du film (un autre flash-back) semble nous dire que ces histoires de cœur ne peuvent point briser les vraies amitiés. Pour porter à l’écran cette histoire, Ben Becher entreprend un va-et-vient entre passé et présent. Un présent réaliste et des souvenirs plutôt oniriques. Ce passé qui vient éclairer le présent— de la narration— «trahit» ces personnages et nous donne des indices pour saisir toute leur fragilité. Ben Becher se place en spectateur et porte un regard tendre sur ses personnages, le jeu intérieur accentué par l’économie des dialogues donne à cette histoire une dimension psychologique. Le bonheur, ou la quête du bonheur, thème récurrent dans les films de Mohamed Ben Becher, donne à l’œuvre un côté touchant, un peu fleur bleue, même si, par moments, il force un peu la dose, surtout dans la scène où on étale des pétales de roses sur le lit de Monia. Mohamed Ben Becher se laisse entraîner dans un élan de romantisme, ça plaît mais donne au film un côté naïf hors propos.
Traversée : une approche très humble

La traversée de Nadia Touijer est le deuxième film marquant de ces soirées, sélectionné dans la compétition officielle court-métrage des JCC 2008. Ce film s’est distingué par son aspect peu conventionnel dans le cinéma tunisien, son rythme et le style de sa narration. Dans la veine du cinéma iranien, Nadia Touijer nous entraîne dans un parcours contemplatif de la ville et ses contrastes à travers la traversée d’Amine, un enfant de 8 ans. L’objectif de cette traversée est de déposer un album d’autocollants, un jeu qui lui permettra de gagner une bicyclette. La caméra épouse par moments le point de vue de l’enfant, parfois elle l’abandonne pour nous offrir des plans variés de la métropole. Le regard du petit garçon croise celui d’un clochard qui le fait dévier de sa trajectoire et abandonner sa marche pour lui emboîter le pas. Cette fiction se nourrit de la réalité et qui déverse dans le documentaire, tels des vases communicants. Et de cet univers hostile, Nadia Touijer sait y mettre quelques touches de poésie en étant à l’écoute de son univers pour en saisir les subtilités de ses détails. Mais La traversée manquait de péripéties, elle est restée une simple marche vers un objectif connu d’avance, et même quand un élément nouveau intervient, et que la magie opère dans un simple échange de regards, il n’est pas pour le moins déterminant dans le cours de l’histoire. Dommage que pour ce film silencieux, quasi méditatif, Nadia Touijer n’ait pas su développer cette relation entre le petit enfant et le clochard, et que le film soit resté linéaire jusqu’à la fin pour y découvrir la chute. La traversée de Nadia Touijer dépasse la simple histoire du film, c’est plutôt une approche minimaliste et humble de voir le cinéma.
Asma Drissi

La Presse

"Toc Toc maman j'suis la!!"


Une nouvelle arrivée dans la famille, et quel arrivée le 5 Février ma cousine à accouché toute seule à la maison !!
Eh oui, elle n’a eu que très peu de contraction et d’un cout le bébé fait coucou ou plutôt un grand WAAAAAA!! et débarque !!
Resté quelque temps sous le choc par terre à coté de son bébé, elle réussit comme même à appeler son mari.
A la clinique se fut l’étonnement totale personne n’a donné de chance au bébé resté trop longtemps sans soins. Mais voila elle s’es accrochée !!
Le staff médicale à proposé de l’appeler Amal(espoir), et c’est devenu la star du service.
Amal va bien ma cousine et son mec se sont remis de leurs émotions.
Mon père ironique comme dab me sort « Etofla Mazrouba, c’est compréhensible, c’est dans l’air du temps :) »

vendredi 6 février 2009

« La traversée » entame sa traversée des Festivals

Aprés sa sortie aux Journée Cinématographique de Carthage,le court métrage Tunisien
« la Traversée » est sélectionné dans les festivals suivants :

- Fespaco au Burkina-Faso du 28 Février au 07 Mars 2009
- Festival du film Tunisien à Paris Mars 2009
- Festival du Film Africain de Tarifa Espagne 22 au 31 Mai
- Festival du film d’Afrique d’Asie et d’Amérique Latine à Milan du 23 au 29 Mars
- Festival de la création et de la Liberté à Doha Qatar du 9 au 12 Avril









jeudi 5 février 2009

My Music tag!


Suite au jeu lancé par Lolita voila mon tag musical!!
Il s'agit de “mettre son ipod en position aléatoire et coller les treize chansons qui sortent du chapeau aux treize questions suivantes, sans tricher bien sur !”.
1- Comment vous sentez-vous aujourd’hui ? "Out of the time men"
C’est un peu ça today ; )
2. Comment les autres vous voient ? "Yellow fever" Fella kuthi
Je ne sais je demande et vous dis ;)
3. Quelle est l’histoire de votre vie ? "Sibérie" Manu Chao
Je me reconnais plus dans le début de la chanson « J’ai tant rêvé du fleuve Amour J’ai tant pêché à boire ton eau. Sur la place rouge de nos deux cœurs…. »
4. Quelle chanson pour votre enterrement ? "Tzakar ma ten3ad" Fairuz
Du Radif iranien me conviendrait parfaitement !!
5. Comment allez-vous de l’avant dans la vie ? "Just like that" Fella Kutti
C’est assez vrai
6. Comment être encore plus heureux ? « Wolf at the door » RadioHead
Ce n’ai pas dans mes objectif le « Encore Plus » être juste heureuse me suffi amplement.
7. Quelle est la meilleure chose qui vous soit arrivée dans la vie ? « Daimond and gold » Tom waits
C’est pas vraiment ca, alors pas du tout…..
8. Pour décrire ce qui vous ravit ? « Demain l’ont se marient » Jacque Brel
:) no comment
9. Votre boulot pour vous c’est… ? « L’aventure» Brel
Oui, l’imprévisible, la création, l’éternelle recherche…
10. Que devriez-vous dire à votre boss ? « Monkey Banan » Fela Kutti
Oups !!!
11. Pour vous, l’amour c’est… ? « Le réveil de la mariée » Padovani
J’adore ce morceau il peut tout à fait symboliser une image musicale de l’amour !!

12. Pour vous, la sexualité ça doit être… ? "Patchanka". Manu Chao,
Définition de Patchanka :
Intégrants de nombreuses influences, les musiciens de la Mano concoctent un son particulier, cocktail de rock, salsa, raï, reggae et rap auquel ils donnent un nom : "Patchanka". Manu Chao, qui écrit les textes, en donne une définition personnelle : "De la musette avec des paroles apaches et l'esprit chorizo".
L’esprit chorizo ca y va un peu fort la :D
13. Bloguer pour vous c’est… ? ""El Arbol de l’olvido Lhasa de Sela
Inscrire des pensées, faire une pause de temps en temps de mon transit.