vendredi 26 décembre 2008

A voir ce soir au Cinémafricart à 21H00 " La Traversée"




























Vous pouvez voir ce soir à 21H00 au cinéma l'Africa le court métrage de fiction





"La Traversée العبور"


de Nadia Touijer.




SYNOPSIS


Un enfant de huit ans, habite une banlieue populaire sur les hauteurs de Tunis.

Il descend à la ville afin de déposer son livret de collection et espère gagner une bicyclette.

Seul, ou presque, il est confronté à la métropole. Son parcours s'avère plus compliqué que prévu…











Voila le programme complet de la soirée:



- Programme vendredi 26/12/2008 Cinémafricart 21h00


Lumière dans la mer ضو في البحر 17’ ناصر كسراوي

La traversée العبور 15’ نادية تويجر

Evasion هروب 26’ محمد عجبوني

Le fossoyeur حفار القبور 15’ غانم غوّار

Oudhna, ma mémoire اوذنة ذاكرتي 14’ منذر بوعصيدة

http://cinefils.over-blog.com/article-25976860.html








dimanche 21 décembre 2008

Solstice


Lotus débarbouillé je suis
De ton mal je me défais
De ta boue je me lave
Les pieds dans la boue je me relève
Tant bien que mal je me relève
J’arrache le sourire aux entrailles de ma tristesse
Je me cherche dans le brouillard ou tu m’as emmené
Je panse les blessures que tu as creusées
Je libère les mots que tes peurs ont freinés
Je ne veux pas m’arrêter ou tu t’es figé
Je lave mon corps de tes mains moites
De ta peau rêche qui m’esquivait
Je plante mes racines dans un sol saint
A la terre généreuse et au cœur profond
Je respire l’air, je respire la vie
De mes pétales mortes je me défait…….

mercredi 21 mai 2008

"la ara la assma3 la attakalam"



La facade d'une ancienne entreprise italienne au centre ville,maintenant fermé. Cette sculpture illustre bien notre devise nationale."la ara la assma3 la attakalam"

lundi 19 mai 2008

Tunis

Quelques pétales qui parlent au vent


Pétale laissés derrières moi
Dernier souffle d’une fleur qui se fane

Et pourtant la juste la elle respirait
Pourtant la juste la elle se ballotait au gré du vent


Poussières de sentiments

Poussières de souvenirs

Poussières de moments

Tout semble si lointain même si tu es encore présent

Il ne fallu de peu pour qu’elle grandisse

Il fallu de peu pour qu’elle réagisse


Pétales ballotté le vent est toujours la

Le vent qui aime et qui se lasse
Le vent qui tourne et se perd
Le vent qui prend et qui lâche
Le vent qui fâche

Fatigué elles sont d’être des pétales perdu dans les filets du vent

jeudi 3 avril 2008

Quelques films a voir à "Doc à Tunis"












Gharsallah, la semence de dieu
De Kamel Laaridhi




vendredi 4 Avril 2008
Maison de la culture Iben Rachiq à 21h.


A l'aube du XXIe siècle, un homme nommé Gharsallah meurt et se fait enterrer dans son mausolée dans un petit village, Dhibet, au centre de la Tunisie. Le film essaye de transmettre des fragments de vies marquées par Gharsallah : le saint, l'injuste, le fou, le possédé... C'est l'histoire d'un homme solitaire qui a imprégné tout son entourage, même dans le rêve.


In each community, a minority of men had been classified in a higher range and was told saints. In the accounts of their lives you can never tell the reality from the fantasy.
Hearing about Gharsallah (God's sowing), dead in 2001, the crew was fascinated by the existence of a modern-day saint. We decided to visit his mausoleum built on a hill, near of a village in the center of Tunisia.
Although the souvenirs were still fresh in the memories of people who mate him, the accounts were as contradictory as varied.
Who really was this man? "A lunatic", "an unjust saint", "a sorcerer", "a possessed man", "a charlatan"…? Maybe trying to answer such a question is like "trying to trap the wind in a net".



Image/realisation: kamel laaridhi
Montage image :nadia touijer
Montage son/mixage paul delvoie
Production: Atelier de production du GSARA
Durée:55'
Couleur: couleur
Support:dv
Langue: arabe
Sous-titres :FR/GB
Format: 1:66

mercredi 19 mars 2008

"Je ne regrette rien"




Puisque maintenant tout est histoire de chiffres, des chiffres et encore des chiffres, des additions des soustractions...
Il ne regrette rien rien puisque Il gagne, puisque Il encaisse.

Tout est une histoire de zéros, des zéros qui s’alignent comme des soldats, des zéros qui s’alignent comme des civils innocents, des zéro qui s’alignent comme des enfants aux yeux hagards…


Je viens de me rendre compte que 60000 morts en 5ans de guerre en Iraq c’est rien.


Voici quelques extraits du discour de GW bush.


The New York Times

lundi 11 février 2008

Besoin d'aide


Je cherche des poésies, textes ( en arabe Français italien ou espagnol) photos ou peintures sur les fenêtres (fenêtre sur rue , observation d'une fenêtre, attenante à une fenêtre ....)
si vous pensez à quelque chose n'hésitez pas à me contacter:
transitworld@gmail.com

Merci d'avance.

mercredi 23 janvier 2008

A ne pas rater




Ramzi Souani un photographe peintre que je viens de découvrir, un talent et une finesse remarquables, ne ratez pas son expo " ...passage au dessus.." qui démarre ce soir et jusqu'a 4 février à l'espace air libre d'el teatro http://souani.jepose.org/
ces peuvres m'ont fait penser à cette poésie Nâzim Hikmet



Sur moi toutes ces portes fermées
tous ces rideaux baissés
ni un carré de bleu ni une poigné d'étoiles
Est-ce ici que la mort nous surprendra
de cette ville ma rose
ne pourrons-nous sortir?


Nâzim Hikmet